Martí
Corbera

Repéré par ses mentors dès son adolescence comme un talent exceptionnel, Martí Corbera débute sa carrière en tant que danseur de flamenco. Très vite, il décide d’étendre son art à d’autres disciplines artistiques telles que le cinéma, l’écriture ou encore l’improvisation.

Après avoir intégré le prestigieux Real Conservatorio de Madrid, il est engagé par la compagnie de danse Suisse, Flamencos en Route, réputée pour son travail autour du flamenco et des courants de danses contemporaines européennes. Plus tard, auprès du Ballet flamenco d’Andalousie à Séville, il collabore avec un grand nombre de chorégraphes célèbres pour leurs projets forts et profonds autour du flamenco et des discours artistiques liés à ses traditions. Notamment Patricia Guerrero dans Deliranza, Sara Jiménez dans Adioses ou encore Karen Lugo dans El fuego fatuo.

Par la suite, Martí Corbera déménage à Berlin où il s’intéresse à une danse plus proche du théâtre, qui prône le corps et sa motricité. Là-bas, il collabore avec le chorégraphe et danseur Juan Kruz Díaz de Garaio, sur la création de pièces traitant de la mort, de l’amour ou encore des différentes étapes de la vie. Sous la direction du chorégraphe, il participe aux spectacles lll avec la violoniste Midori Seiler, La Danse du Soleil avec le Geneva Camerata ou encore Arena avec les danseuses Rocío Molina, Clémentine Deluy et Sara Jiménez.

Actuellement, Martí Corbera développe sa propre création intitulée Amor Vincit Omnia avec la metteuse de scène Elean del Sol.